Vivre revêt tellement de strates, dʼintentions, dʼémotions... Vivre ne se passe ni jamais quʼen soi, ni jamais que pour soi. On vit sous le regard dʼautres et notre image vient percuter leur trajectoire dans le réel et lʼimaginaire.  

 

Le sixième jour est une lecture des possibles, de ces rencontres qui auraient pu se faire, du recours puissant à notre imaginaire pour nous aider à être présent au monde, le comprendre, y lire sa poésie et ses menaces. Par la condensation des espaces-temps, le recours au virtuel et la figuration de plusieurs propositions narratives, cette série de photographies propose des empreintes oniriques plurielles sur la base de simples scènes de vie comme autant de sixièmes jours inscrits à notre calendrier.